Oui, il y a encore tant à faire pour notre monde, la moisson est abondante, alors pourquoi perdre du temps pour une question qui devrait être réglée depuis plus de quarante ans ! Lorsqu’à l’issue d’une discussion collégiale au synode de 1980, cette question devait trouver une issue positive à 179 voix contre 20 et qu’elle a été tout bonnement balayée par« Familiaris Consorsio »

Depuis plus de quarante ans, des théologiens, des exégètes, des spécialistes de la questions, cherchent des chemins possibles, des évêques comme Mgr Le Bourgeois, des pasteurs accueillent et se tiennent aux frontières et parfois , en conscience, les dépassent et une bonne partie du peuple de Dieu est tout bonnement scandalisé que cette situation d’ostracisme perdure et se trouve très démunie lorsqu’ils doivent rendre compte de cet état de fait devant un monde de plus en plus «  séculier » !

De la même manière qu’aujourd’hui on a peine à imaginer que jusqu’en 1973 les divorcés n’avaient pas le droit à un enterrement à l’Eglise, j’espère de tout mon cœur que dans un avenir très proche on puisse se dire :

« Comment ! en 2014, les divorcées-remariées étaient encore privés de l’Eucharisties ( et de tous les autres sacrements ) , mais j’y crois pas !!! »