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le magistère

Vous trouverez dans cette page des extraits du code canonique, des extrait d’encycliques ou d’exhortations apostoliques, ainsi que des orientations de la conférence des évêques de France.

Orientations votées par les Évêques de France

en assemblée plénière Pastorale du mariage – Lourdes- 9 novembre 2002

9- Tout divorce implique des souffrances. Nous ne jugeons pas celles et ceux qui y ont recours ou qui y sont contraints.

Par fidélité au caractère unique et définitif de leur mariage, certaines personnes divorcées choisissent de ne pas se remarier. Nous reconnaissons la grandeur de ce choix conforme à l’appel de l’Évangile.

D’autres décident de contracter une nouvelle union civile. Certaines veulent être accompagnées par la prière de l’Église dont elles sont et demeurent membres. Une telle prière ne peut pas prendre la forme d’une célébration qui présenterait les signes extérieurs d’un mariage sacramentel.

Par respect de la cohérence entre les deux sacrements de l’Alliance, l’eucharistie et le mariage, l’Église leur propose différents modes de participation à sa vie ainsi que des moyens d’accompagnement pour un cheminement spirituel.

LETTRE ENCYCLIQUE Du Pape Jean Paul II
ECCLESIA DE EUCHARISTIA

le 17 avril 2003,

37. L’Eucharistie et la Pénitence sont deux sacrements intimement liés. Si l’Eucharistie rend présent le Sacrifice rédempteur de la Croix, le perpétuant sacramentellement, cela signifie que, de ce Sacrement, découle une exigence continuelle de conversion, de réponse personnelle à l’exhortation adressée par saint Paul aux chrétiens de Corinthe: « Au nom du Christ, nous vous le demandons: laissez-vous réconcilier avec Dieu » (2 Co 5, 20). Si le chrétien a sur la conscience le poids d’un péché grave, l’itinéraire de pénitence, à travers le sacrement de la Réconciliation, devient le passage obligé pour accéder à la pleine participation au Sacrifice eucharistique.

Évidemment, le jugement sur l’état de grâce appartient au seul intéressé, puisqu’il s’agit d’un jugement de conscience. Toutefois, en cas de comportement extérieur gravement, manifestement et durablement contraire à la norme morale, l’Église, dans son souci pastoral du bon ordre communautaire et par respect pour le Sacrement, ne peut pas ne pas se sentir concernée. Cette situation de contradiction morale manifeste est traitée par la norme du Code de Droit canonique sur la non-admission à la communion eucharistique de ceux qui « persistent avec obstination dans un péché grave et manifeste ».(76)

Quelques  » Canons  » de l’église sur le droit et les devoirs des fidèles 

si vous voulez lire

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