28 septembre 2016

Le pape François à ouvert le 26 septembre  le SYMPOSIUM pour valoriser le rôle des femmes dans l’Eglise….on peut y croire..un peu, beaucoup, passionement…et même à la folie..

On demandera des informations de première main à notre amie ( soeur) Carmen Sammut, présidente de l’union des supérieures générales des congrégations féminine apostoliques…

Un congrès à l’initiative du pape pour valoriser le rôle des femmes dans l’Église

 

Communiez Français !

Je voulais mettre ça sur le blog du synode, mais j’ai été censurée !!!

Aujourd’hui j’ai lu avec plaisir le billet d’Alain Remond :

calice

Halte au dumping sur les hosties !

( j’ajoute : les monastères sauvés par les divorcés-remariés )

Alors que l’annonce de la fermeture de l’usine Alstom de Belfort relance la querelle du « patriotisme économique », mon attention a été attirée par une lettre parue hier dans le courrier des lecteurs de La Croix tirant le signal d’alarme sur un autre scandale : la mort programmée de l’hostie made in France. Il apparaît en effet que les hosties fabriquées par des religieuses françaises dans des monastères français subissent la rude concurrence des hosties produites industriellement en Pologne, qui inondent le marché grâce à des prix ultra-compétitifs. Résultat : la part de marché de l’hostie française décline inexorablement. D’où le cri de colère de ce lecteur : « Nos évêques doivent exiger que tous les diocèses s’approvisionnent dans les monastères français. Et nous, dans nos paroisses, devons exiger de “communier français” !  »         tout l’articl Alors que l’annonce de la fermeture de l’usine Alstom de Belfort relance la querelle du « patriotisme économique », mon attention a été attirée par une lettre parue hier dans le courrier des lecteurs de La Croix tirant le signal d’alarme sur un autre scandale : la mort programmée de l’hostie made in France. Il apparaît en effet que les hosties fabriquées par des religieuses françaises dans des monastères français subissent la rude concurrence des hosties produites industriellement en Pologne, qui inondent le marché grâce à des prix ultra-compétitifs. Résultat : la part de marché de l’hostie française décline inexorablement. D’où le cri de colère de ce lecteur : « Nos évêques doivent exiger que tous les diocèses s’approvisionnent dans les monastères français. Et nous, dans nos paroisses, devons exiger de “communier français” !  »         tout l’article

Pour sauver cette « industrie » et permettre aux religieuses de ces couvents de continuer à vivre de leur travail, et à louer le Seigneur, je ne vois qu’une solution :

Accueillir  à la communion sacramentelle tous les divorcés-remariés qui communieront français !

messe des 4 temps

caliceJe vous ai déjà parlé de la messe des 4 temps.

la prochaine sera le jeudi 23 septembre. de 18h 30 à 22h 30

Voici le mail d’invitation et je vous mets aussi les textes.( attention c’est long et mal présenté )

Chers amis voici les textes qui nourriront notre prochaine assemblée eucharistique qui aura lieu dès à présent dans une salle de l’église Saint Michel (rez de chaussée)

45 Av. Berthelot, Lyon 69007

comme précisé dans le calendrier 2016-2017 que vous trouverez également en pièce jointe.

Amitiés à tous.

Roland Vignand
vigrolsim@hotmail.com
04 78 51 59 81 / 06 51 75 50 86

Invitation

QUATRE TEMPS

Une assemblée chrétienne, réunie 4 fois dans l’année

23 sept.2016 – 02 déc. 2016 – 10 mars 2017 – 09 juin 2017

Les vendredis soirs, de 18H30 à 22H30,
dans une salle de l’église Saint Michel (rez de chaussée)

45 Av. Berthelot, Lyon 69007

Métro B. Jean Macé (6 min. à pied) -Tram T2, Centre Berthelot (6 min. à pied)

 

Une heure,

pour se dire à travers notre expérience concrète, les questions du monde profane, le rapport de notre foi et de ce monde.

 

Une heure,

pour lire les passages de l’Ecriture prévus pour le dimanche qui vient, une lecture ne demandant pas de connaissances particulières y compris pour celui qui ouvre le Livre pour la première fois, une lecture qui laisse le texte et rien que le texte travailler en nous par une observation, une visite du texte.

 

Une heure,

pour célébrer une Eucharistie que l’assemblée puisse faire sienne, peuple de Dieu responsable de la mémoire du Christ.

 

Une heure,

pour un repas frugal au cours duquel nous pourrons dire comment nous vivons cette soirée et tisser des liens entre les temps précédents.

Participation aux frais

Isabelle Chazot, Michèle Perdrix, Louis Perrin,

Vincent Plazy, André Rozel, Paul Vuillermoz

textes:  26ème dim C  23/09/2016

Lecture du livre du prophète Amos 6, 1a.4-7

Ainsi parle le Seigneur de l’univers :
    Malheur à ceux qui vivent bien tranquilles dans Sion,
et à ceux qui se croient en sécurité
sur la montagne de Samarie.
    Couchés sur des lits d’ivoire,
vautrés sur leurs divans,
ils mangent les agneaux du troupeau,
les veaux les plus tendres de l’étable ;
    ils improvisent au son de la harpe,
ils inventent, comme David, des instruments de musique ;
    ils boivent le vin à même les amphores,
ils se frottent avec des parfums de luxe,
mais ils ne se tourmentent guère du désastre d’Israël !
    C’est pourquoi maintenant ils vont être déportés,
ils seront les premiers des déportés ;
et la bande des vautrés n’existera plus.

Lecture de la première lettre de saint Paul apôtre à Timothée 1 Tm 6, 11-16

Toi, homme de Dieu,
recherche la justice, la piété, la foi, la charité,
la persévérance et la douceur.
    Mène le bon combat, celui de la foi,
empare-toi de la vie éternelle !
C’est à elle que tu as été appelé,
c’est pour elle que tu as prononcé ta belle profession de foi
devant de nombreux témoins.

Et maintenant, en présence de Dieu qui donne vie à tous les êtres,
et en présence du Christ Jésus
qui a témoigné devant Ponce Pilate par une belle affirmation,
voici ce que je t’ordonne :
    garde le commandement du Seigneur,
en demeurant sans tache, irréprochable
jusqu’à la Manifestation de notre Seigneur Jésus Christ.
    Celui qui le fera paraître aux temps fixés, c’est Dieu,
Souverain unique et bienheureux,
Roi des rois et Seigneur des seigneurs,
    lui seul possède l’immortalité,
habite une lumière inaccessible ;
aucun homme ne l’a jamais vu,
et nul ne peut le voir.
À lui, honneur et puissance éternelle. Amen.

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc Lc 16, 19-31

En ce temps-là,
Jésus disait aux pharisiens :

« Il y avait un homme riche,
vêtu de pourpre et de lin fin,
qui faisait chaque jour des festins somptueux. Devant son portail gisait un pauvre nommé Lazare,
qui était couvert d’ulcères.
Il aurait bien voulu se rassasier
de ce qui tombait de la table du riche ;
mais les chiens, eux, venaient lécher ses ulcères.
Or le pauvre mourut,
et les anges l’emportèrent auprès d’Abraham.
Le riche mourut aussi,
et on l’enterra.

Au séjour des morts, il était en proie à la torture;
levant les yeux, il vit Abraham de loin
et Lazare tout près de lui.

Alors il cria :

« Père Abraham, prends pitié de moi
et envoie Lazare tremper le bout de son doigt dans l’eau
pour me rafraîchir la langue,
car je souffre terriblement dans cette fournaise ».

« Mon enfant – répondit Abraham – rappelle-toi :
tu as reçu le bonheur pendant ta vie,
et Lazare, le malheur pendant la sienne.
Maintenant, lui, il trouve ici la consolation,
et toi, la souffrance.
    Et en plus de tout cela, un grand abîme
a été établi entre vous et nous,
pour que ceux qui voudraient passer vers vous
ne le puissent pas,
et que, de là-bas non plus, on ne traverse pas vers nous ».

Le riche répliqua :
 « Eh bien ! Père, je te prie d’envoyer Lazare
dans la maison de mon père. En effet, j’ai cinq frères :
qu’il leur porte son témoignage,
de peur qu’eux aussi ne viennent
dans ce lieu de torture ! ».

Abraham lui dit :
« Ils ont Moïse et les Prophètes :
qu’ils les écoutent ! ».
 « Non, père Abraham – dit-il – 
 « mais si quelqu’un de chez les morts vient les trouver,
ils se convertiront ».
    Abraham répondit :
 « S’ils n’écoutent pas Moïse ni les Prophètes,
quelqu’un pourra bien ressusciter d’entre les morts :
ils ne seront pas convaincus ».

Prière EUCHARISTIQUE

Maintenant,

le temps vient,

Père de toutes grâces,

d’unir nos voix singulières.

Et que monte vers toi notre louange commune !

 

Oui, tu es le Dieu de l’Homme,

et tu nous connais par notre nom.

Tu es le Dieu de l’univers,

et c’est toi qui donnes vie en toutes choses.

 

Tu es l’auteur, le principe et la source

de la vérité de tout ce qui est vrai,

de la sagesse de tout ce qui est sage,

du bonheur en tout ce qui est heureux.

 

C’est par Jésus ton Fils, que nous proclamons notre joie :

il est l’un de nous, l’Homme de Dieu,

il a tracé sa vie d’homme,

dans la confiance, témoignant,

dans la fidélité, priant,

dans la plénitude, manifestant.

 

Alors, notre reconnaissance monte jusqu’à toi par nos chants,

habités d’une joie profonde et sincère :

 

Dieu Saint (bis), Dieu très Saint (bis)

 Dieu infiniment Saint (bis), Seigneur de l’Univers.

Ciel et terre sont remplis de ta gloire,

 Hosanna dans les hauteurs (bis), Hosanna dans les hauteurs des cieux

Qu’il soit béni (bis), celui qui vient d’auprès de toi.

 

Maintenant tu nous appelles, Père de toutes grâces,

et nous voici rassemblés pour ces Quatre Temps de rentrée,

laissant nos affaires, laissant l’ordinaire,

pour nous tenir là,

chercher ensemble à dire le monde,

chercher à entendre ta Parole,

et communier au corps et au sang du Christ.

 

Comment ne pas désespérer avec tous ceux qui cherchent une terre où s’installer,

travailler et faire vivre leur famille ?

Comment ne pas crier avec ceux qui n’attendent plus la paix

derrière ces murs indignes et ces occupations illégitimes ?

Comment ne pas attaquer l’injustice de ceux qui sont vautrés

dans un luxe infamant ?

 

Dans les pas de Jésus, le Christ, en cherchant son allure,

comme des pauvres envahis de désirs,

nous désirons un autre ordre pour le monde.                   instant musical,       silence       puis reprise musicale          

Nous voici, Assemblée, devant toi, Père de toutes grâces,                                                   2

et dans la communion de toutes les Eglises qui se rassemblent,

nous nous souvenons de Jésus,

cet homme au cœur de feu, cet homme au cœur de chair,

cet homme épris de toi, sous l’Esprit :

le Premier-Né,

Maître et Seigneur,

Verbe de vie.

Il nous invite

en son retournement,

à le suivre au rang des serviteurs,

au bonheur que donne son amour.

La joie qui vient de lui vient témoigner de Pâque.

instant musical,       silence       puis reprise musicale

Père de toutes grâces,

souviens-toi de sa geste d’homme,

fidèle à ton Esprit.

Il est entré dans la mort,

nous donnant le souffle de sa vie.

Libérant de la mort,

il devient le premier de nous tous,

Homme de Dieu, ton Fils.

instant musical,       silence       puis reprise musical

O Dieu,

Père de toutes grâces,  nous te prions :

ces offrandes que nous avons placées devant nous,

ce pain et ce vin, si nécessaires, si ordinaires,

au nom de tous les chrétiens, de tous les croyants,

au nom de cette humanité en devenir,

maintenant, ce pain et cette coupe, tout ce que la vie nous donne,

reçois-les, Dieu notre Père, reçois-les.

Accueille-les, Dieu notre Père, accueille-les.

instant musical,       silence       puis reprise musicale

Sanctifie les gestes de notre assemblée !

Sanctifie ces gestes à cause de Jésus Christ, le Fils de l’homme qui vit en nous,

à cause de la Pâque définitive qu’il a accomplie.

 

Puis chanté ligne par ligne

                              

Répands ton Esprit sur la coupe et le pain (bis)

   Que cette offrande  devienne pour nous (bis)

  Sacrement  de Jésus Christ ! (bis)

 

3

 

Voici qu’une mémoire élève celui qui est couché de pauvreté.

Voici qu’une mémoire rapproche celui qui est seul de vide.

Voici qu’une mémoire rassemble tous les temps en un jour d’éternité.

Voici que tu te souviens, Dieu notre Père,

de ton Fils Jésus,

Messie crucifié,

Messie exalté, élevé, glorifié,

Dieu fait homme, Homme de Dieu.

Tu l’as glorifié.

Entends-le maintenant qui te glorifie.

A travers nous, il te rend grâce

de ce que, par cette coupe et ce pain,

nous sommes maintenant présents à son acte de louange.

 

0 Seigneur, envoie ton Esprit

qui renouvelle la face de la terre!

 

Que l’Esprit Saint fasse de nous le peuple vivant des croyants.

Que ce même Esprit fasse surgir en nous la joie des baptisés,

libres désormais pour pratiquer ta justice,

libres désormais pour communier

et ainsi devenir assemblée de vivante Eucharistie.

 

0 Seigneur, envoie ton Esprit

qui renouvelle la face de la terre!

Nous voulons nommer devant toi, Seigneur,                                                                               4

ton Peuple qui ne cesse de te chercher,

tes Eglises qui ne cessent de t’annoncer,

les femmes et les hommes vivants de ton Evangile,

réunis dans une même foi au service de tout homme.

Que ceux qui y sont en charge gardent

l’insolence de cette bonne nouvelle,

l’intempérance de ce souffle,

la bienveillance de ce rythme.

 

Souviens-toi de ceux et celles qui ont achevé leur existence,

notamment tous ceux qui ont vécu les Quatre Temps.

Grave à jamais leur nom au creux de ta main.

Silence, puis instant musical

Maintenant,

souviens-toi de nous, Père de toutes grâces.

Tu connais nos rigueurs, et tu sais nos peurs.

Comment pourrions-nous te rendre honneur et gloire

si nous n’étions pas pris par ton Esprit

au corps de ton Fils bien aimé,

qui fait monter de cette terre la louange à nos lèvres ?

 

Puissions-nous, en cet aujourd’hui d’éternité, être rapprochés, réunis

comme Lazare et Abraham,

avec Marie, que les anciens ont appelée mère de Dieu,

les apôtres et tous les saints.

 

Puissions-nous chanter ta gloire

avec tous les hommes rassemblés dans la paix,

par Jésus Christ,

vivant avec toi et l’Esprit Saint pour la suite des jours.

( puis chanté)

Par lui, avec lui et en lui                                                                           Amen !

A toi Dieu le Père, dans l’unité du Saint Esprit                              Amen !

Tout honneur et toute gloire pour les siècles des siècles                           Amen !

Pour la fraction

Lorsque nous regardons les mains de celui ou de celle qui met le pain en parts,

nous voudrions quitter le souci d’être des gens bien,

d’être le meilleur, la meilleure.

Comme la part correspond à la part, nous désirons correspondre à autrui,

les uns des autres, serviteurs.

 

 

rentré septembre 2016

La rentré des diaconesses est fixée le jeudi 22 septembre à partir de 10 h et jusqu’au café et plus si affinité, au lieu habituel.

jesus et une petit femmeLe pape François, qui défend un certain féminisme dans Amoris laetitia, déplore les préjugés qui porte atteinte à la dignité de la femme….c’est vraiment très soft, mais il fallait le dire.

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