Je voulais mettre ça sur le blog du synode, mais j’ai été censurée !!!
Aujourd’hui j’ai lu avec plaisir le billet d’Alain Remond :
Halte au dumping sur les hosties !
( j’ajoute : les monastères sauvés par les divorcés-remariés )
Alors que l’annonce de la fermeture de l’usine Alstom de Belfort relance la querelle du « patriotisme économique », mon attention a été attirée par une lettre parue hier dans le courrier des lecteurs de La Croix tirant le signal d’alarme sur un autre scandale : la mort programmée de l’hostie made in France. Il apparaît en effet que les hosties fabriquées par des religieuses françaises dans des monastères français subissent la rude concurrence des hosties produites industriellement en Pologne, qui inondent le marché grâce à des prix ultra-compétitifs. Résultat : la part de marché de l’hostie française décline inexorablement. D’où le cri de colère de ce lecteur : « Nos évêques doivent exiger que tous les diocèses s’approvisionnent dans les monastères français. Et nous, dans nos paroisses, devons exiger de “communier français” ! » tout l’articl Alors que l’annonce de la fermeture de l’usine Alstom de Belfort relance la querelle du « patriotisme économique », mon attention a été attirée par une lettre parue hier dans le courrier des lecteurs de La Croix tirant le signal d’alarme sur un autre scandale : la mort programmée de l’hostie made in France. Il apparaît en effet que les hosties fabriquées par des religieuses françaises dans des monastères français subissent la rude concurrence des hosties produites industriellement en Pologne, qui inondent le marché grâce à des prix ultra-compétitifs. Résultat : la part de marché de l’hostie française décline inexorablement. D’où le cri de colère de ce lecteur : « Nos évêques doivent exiger que tous les diocèses s’approvisionnent dans les monastères français. Et nous, dans nos paroisses, devons exiger de “communier français” ! » tout l’article
Pour sauver cette « industrie » et permettre aux religieuses de ces couvents de continuer à vivre de leur travail, et à louer le Seigneur, je ne vois qu’une solution :