Oui, ils ont osé nommer une femme, une jeune pasteuse de 46 ans, Emmanuelle Seyboldt !
Vendredi 26 mai, l’Église protestante Unie de France a, pour la première fois, porté à sa tête une femme. À l’issue d’une semaine de synode à Lille – celui-ci se tient jusqu’à dimanche – Emmanuelle Seyboldt, pasteure à Besançon (Doubs), a été nommée présidente du Conseil national de cette Église qui fédère 250 000 fidèles engagés dans l’union des églises réformée et luthérienne. C’est une première au sein d’un protestantisme français très éclaté….lire l’ensemble
La semaine dernière , je vous avais fait part de la nomination de notre amie Lucettea …voici les « laude » qu’elle a reçu du cardinal Poupard :
je le confesse ingénument, la pensée qui m’est venue en lisant dans l’Osservatore Romano, avec un vif plaisir, votre récent article consacré à Anne-Marie Pelletier, et justement intitulé Audace féminine. Aussi, je me réjouis vivement que le gouvernement de la République, attentif à distinguer les vraies valeurs, vous ait conféré la plus haute distinction dont il dispose depuis Napoléon – et la plus recherchée – la Légion d’honneur…..tout le discours !!!
Et, je pense vous avoir déjà fait suivre cet article, de mars 2017 dans Femmes, Eglise et monde. Mais ainsi vous pourrez le relire tranquillement:
Qu’arriva-t-il lorsque les femmes protestantes devinrent biblistes ? Elles découvrirent que les textes bibliques qui les avaient réduites à être un « sexe faible » ou des séductrices étaient des lectures faussées par des cultures antiques. Il fallait donc, selon les pionnières, « sauver la Bible » de ces enfermements.
Toujours sur son sujet favori, le féminisme, Lucetta part » en guerre » contre une certaine vision du » génie de la femme « vu par des génération d’hommes célibataires…elle a écrit un article dans la revue » Etude » et nous en offre un résumé.