Anne-Marie Pelletier

chemin de croixLa théologienne, Anne-marie Pelletier qui a écrit de nombreux ouvrages et qui récemment a collaboré au libvre des 26 théologiens et au guide de lecture d’Amoris laetitia a été sollicitée par le pape François pour écrire une méditation pour le grand chemin de Croix du vendredi saint à Rome au Colisée ! Elle nous fait part de sa réaction à cette annonce.

texte en word de la méditation

Cette « reconnaissance » de ses qualités de théologienne a été repris par notre amie Lucettea Scaraffia dans un article de Zenit qui salue l’audace de ce geste.

anne marie PelletierAnne-Marie Pelletier intervient souvent et notamment dans la journée de formation à Paris du 17 octobre dernier où l’on peur écouter son intervention. La Croix lui a également consacré un article en janvier sur l’expérience de la faiblesse vu par Amoris laetitia ;

 

Et voici le dernier numéro de Femmes , Eglise et Monde du supplément de l’Osservatore romano

aller aussi découvrir ce site Femmes et Ministères

 

journée de la femme 2017

lucetta scarafiaEn cherchant de des choses intelligentes à dire sur la journée de la Femme, d’ailleurs juste le fait qu’il faille décréter une journée  » réservée » ça ne me convient pas trop et pourrait bien signifier que les 364 autres jours ce sont les journées des Hommes ce qui est assez fidèle à la réalité surtout dans certains pays, donc, en cherchant » du contenu », je suis re-tombé sur des textes de Joseph Moingt et de Teilhard de Chardin plutôt pas évident mais qui élève un peu le débat. J’ai tout mis sur le 8 mars du blog du synode. https://synodequotidien.wordpress.com/2017/03/08/8-mars-2017/….

Je vous réserve un autre article de Joseph Moingt publié sur le blog ami :

 » Dieu maintenant »

Et je n’ai toujours pas trouvé à qui j’ai prêté le livre de Lucetta …livre-de-lucetta

Et l’actualité….un conseil consultatif de femmes annoncé aujourd’hui, jour de son entré en fonction

Il y a même une théologienne musulmane, l’Iranienne Shahrazad Houshmand. (JCP)

 » La Croix » fait le point sur la situation dans l’Eglise catholique en France

Et un livre s’attaque à la question de la prêtrise… au féminin

 

Les faiseuses d’anges

Ainsi nommait-on celles que les femmes allaient voir en cachette pour faire « disparaitre » l’enfant qui commençait à prendre corps en elles. Que de détresses, de misères, de solitudes, de souffrances, de morts et de condamnations ces grossesses indésirées ont entrainé pour les femmes au milieu de la réprobation, au mieux de l’indifférence de ceux qui en etaient parfois les premiers responsables. Dans un article sur le site des baptisés de France, Monique Hebrad s’efforce de faire entendre une voix nuancée sur ce sujet hautement politique .

simone Weil

La figure de Simone Weil n’a pas pris une ride ! Aller consulter l’article

et le discours que Simone Weil a prononcé , il y a plus de 40 ans !

 

 

Pour 2017

Impossible de ne pas vous souhaiter à vous toutes les voeux les meilleurs !

Pour 2017, vous avez déjà tout reçu, santé , bonheur, réalisation de vos voeux les plus secrets et les plus chers !!! Il ne doit plus rester grand chose, j’arrive un peu après la bataille.

Il me reste peut-être encore le voeux de bonne humeur ou de bon humour, non pas que vous en manquiez, mais je pense qu’on n’en n’a jamais assez ! De toutes façons le premier Voeux c’est de vivre dans la Joie de l’AMOUR, selon l’exhortation du pape François Amoris Laetitia.

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Au vatican, une association créé par les femmes

Un article de Nicolas Senèze, à Rome, pour le journal  » La Croix »

Les femmes du plus petit État du monde ont créé une association qui se veut un réseau de solidarité et d’amitié dans un milieu où elles sont très minoritaires.

Au Vatican, les femmes s’organisent

 

Une première au Vatican.

diaconessesLe 1er septembre dernier, dans un petit bureau du gouvernorat (le gouvernement du Vatican), l’association Donne in Vaticano (D.VA, « Femmes au Vatican ») a été officiellement enregistrée au n° 48 du registre des personnes civiles du plus petit État du monde. Une association exclusivement réservée aux femmes qui travaillent au Vatican, au Saint-Siège et dans les organismes qui lui sont rattachés.

« Elle est née du besoin spontané de certaines femmes de se retrouver et d’unir visitation Arcabasleurs forces », raconte Romilda Ferrauto, vice-présidente de D.VA et ancienne rédactrice en chef de la section francophone de Radio Vatican où elle fut une des premières femmes à avoir des responsabilités (lire La Croix du 23 juin 2016). Non sans rencontrer, à l’époque, des réactions machistes de certains prélats. « Mais notre association ne s’est pas construite dans un esprit revanchard, prévient-elle. Il n’y a pas de projet idéologique mais le fait que certaines femmes, ici au Vatican, se sentent isolées et ont besoin de créer un réseau. »

Si l’idée d’une association de femmes a pu créer des résistances chez certains, elle a été plutôt bien accueillie par la haute hiérarchie. « Au début, il a fallu rassurer les hommes – et certaines femmes – sur le fait que nous étions dans le Vatican, pas contre lui, raconte Romilda Ferrauto. Mais quand nous avons fait la demande officielle de constitution de l’association, nous n’avons pas rencontré de résistance. Nous avons soumis les statuts à la Secrétairerie d’État et tout s’est fait dans les règles. »

Après quatre années de travail, l’association est donc née. « Pour beaucoup, c’était le bon moment de souligner un visage non revendicatif de la présence des femmes dans l’Église, en phase avec les appels du pape aux femmes à assumer leur place dans l’Église. »

Pour lire tout l’article

Les femmes du vatican

La première association de femmes au vatican

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Présidée par l’Américaine Tracey McLure, journaliste à Radio Vatican, et déjà forte de 50 inscrites, elle s’adresse aux 750 femmes qui travaillent pour la Cité du Vatican, le Saint-Siège ou les institutions qui lui sont liées.

« Une association de solidarité et d’amitié »

« Il ne s’agit pas d’un syndicat, mais d’une association de solidarité et d’amitié », explique Romilda Ferrauto, vice-présidente de D.VA et une des 12 fondatrices. « Mais son objectif est bien d’aider, soit si une femme se retrouve veuve avec des enfants ou est victime de discriminations. »

Romilda Ferrauto, nous l’avons rencontré plusieurs fois à Rome, dans les couloir de l’Aula. Elle avait ses entrés un peu partout. Ce n’est pas surprenant qu’elle fasse partie des membres fondateurs

Est-ce que cela veut dire que les choses bougent un peu ?

Sur 3 théologiennes

feministe-2-ieme-vagueAu colloque « Eglise 2030 », dans l’atelier que j’avais choisie j’ai rencontré Mathilde DUBESSET.

Elle est Historienne et a participé à un ouvrage collectif :

 « Féministes de la Deuxième vague » , paru aux PUR en 2012 sous la direction, de Christine Bard

 C’est l’itinéraire de trois femmes catholiques et féministes à Lyon, dans les années 1970-1980……..

Par contre pour ce qui est du diaconat féminin, il me semble avoir déjà fait suivre cet article de la théologienne catholique suisse Helen Schüngel-Straumann……c’est le rôle des prêtres même qui est remis en cause.

Lucetta a encore publié

Voici le dernier livre de Lucetta Scaraffia, que nous avons connu au synode et avec laquelle j’ai pris pas mal de fou-rire. Elle s’occupe du supplément de l’Osservatore romano pour les femmes:  » femmes , Eglise et monde ».

livre-de-lucettaElle vient d’écrire  » Du dernier rang, les femmes et l’Eglise

En voici le résumé sur la quatrième de couverture . le livre est préfacé par Anne-Marie Pelletier.

Une première ! Lors du dernier synode romain sur la famille, des femmes ont pris la parole et leurs points de vue ont été repris dans le document final. L’une d’elles, Lucetta Scaraffia, était « assise au dernier rang de la grande Salle du synode ». Elle n’en fut pas moins attentive aux thèmes et aux enjeux du débat. Ce livre développe les points forts de son intervention devant les évêques : l’Église doit se souvenir que c’est le christianisme qui, le premier, a fondé l’égalité spirituelle entre les hommes et les femmes, et que c’est la tradition chrétienne qui a fait germer l’émancipation féminine en Occident. De ces pages il ressort que, « sans les femmes, l’Église ne peut pas penser l’avenir car elles n’acceptent plus de la soutenir, de la servir sans être écoutées ».

diaconesses verteLucetta Scaraffia est une historienne et journaliste italienne, responsable du supplément féminin de L’Osservatore Romano. À la demande du pape, elle contribue à développer une théologie féminine dans l’Église. Elle est intervenue au synode romain sur la famille à la session d’octobre 2015. Essayiste de premier plan, elle est l’auteur de plusieurs livres à succès en Italie.

théorie du genre

On en reparle puisque le pape François s’est un peu fait piégé par le lobbying  » anti gender « …

un article amusant pioché dans le comité de la jupe

un peu méchant le monde..

et le figaro aussi

premier article de la Croix

mais ce que le pape a vraiment dit

la théorie pour les nuls

bon j’arrête, j’ai ma vaisselle qui m’attends dans ma cuisine…baleine carrée